bauhaus

LE GRAMME aborde l’objet au prisme d’une esthétique sans compromis. Son approche résolument fonctionnaliste ramène chaque création à l’essentiel de sa matière, cherchant à atteindre une émotion universelle car instinctive pour chacun. Un parti-pris qui fait clairement écho à la célèbre école du Bauhaus fondée il y a 100 ans. LE GRAMME revendique des fondamentaux partagés avec ce mouvement dont l’influence continue d’alimenter designers, architectes et artistes.

« Le but final de toute activité créatrice est la construction ». Quand il écrivit le manifeste du Bauhaus en 1919, l’architecte Walter Gropius - son fondateur et premier directeur - n’imaginait peut être pas l’étendue de l’influence de sa Maison de la construction. Devenu depuis mouvement, le Bauhaus a révolutionné les codes de l’architecture et du design. En seulement 14 années d’existence, l’école du Bauhaus a fait émerger l’ère du modernisme, matrice de grands mouvements parmi lesquels le « Style International ».

La perception première à l’écoute du mot « Bauhaus » est souvent celle de la froideur et de l’austérité qu’on peut imaginer à Weimar après-guerre. L’école du Bauhaus fut au contraire un lieu de vie et d’expérimentation bouillonnante, agrégeant des talents de tous horizons pour dispenser son enseignement atypique : architectes et designers (Marcel Breuer, Ludwig Hilberseimer...), peintres (Vassilly Kandinsky, Josef Albers, Johannes Itten, Paul Klee), photographes (László Moholy-Nagy), typographes (Herbert Bayer) et artistes polymorphes (Oskar Schlemmer).

Passionné par la matière et multidisciplinaire, le Bauhaus aborda l’art du métal, du verre, du bois, du textile, la photographie et même la danse à travers ses ateliers animés par des binômes systématiques : un artiste et un artisan. Car telle était sa vocation : réconcilier l’art, l’artisanat et l’industrie. De la même façon les objets LE GRAMME sont le fruit d’un artisanat industriel, dans lequel la précision de la machine s’associe au regard et au geste de l’homme.

Pour le Bauhaus, art et artisanat devaient s’associer dans un but : être accessibles au plus grand nombre, par une esthétique commune, faite de simplicité, tissée d’élégance dépouillée, empreinte de fonctionnalisme. Une approche sans fioritures ni ornementations adoptée par LE GRAMME. Convaincu que l’objet ne devient personnel qu’à travers une forme contractée à l’essentiel, LE GRAMME associe artisanat et technique en une nouvelle unité, révélant la matière dans sa forme la plus simple et utile, au point de nommer chaque création uniquement par son poids.

Avec ses objets portés et fonctionnels conçus pour les hommes, LE GRAMME continue de défendre cet héritage radical, cette esthétique de la modernité aux lignes franches laissée par le Bauhaus. LE GRAMME travaille le métal précieux (Or 750, Argent 925) avec simplicité et géométrie, rationalisant chaque détail, pour offrir un nouveau terrain d’émotion à ceux qui partagent sa recherche d’absolu.
« Son approche résolument fonctionnaliste ramène chaque création à l’essentiel de sa matière, cherchant à atteindre une émotion universelle car instinctive pour chacun. »
« Une approche sans fioritures ni ornementations adoptée par LE GRAMME. »
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